
Apprenez à lire vite avec LIREMIEUX.CA
- Devenez un bien meilleur lecteur.
- Découvrez un plus grand plaisir de lire.
- Développez vos habiletés de lecture (concentration, vitesse, compréhension, mémorisation, discerner l’essentiel).
- Dans le confort de votre foyer.
- Avec l’assurance de réussir.
Qu’est-ce qui caractérise les bons lecteurs ?
Avez-vous remarqué que vos parents, amis ou collègues qui sont passionnés de lecture ont ces comportements en commun ?
- Ils dévorent bouquin après bouquin, ils peuvent terminer un livre en une soirée.
- Ils ne lisent pas en diagonale, ils lisent tout du premier au dernier mot.
- Ils sont absorbés par les histoires qu’ils lisent et sont totalement indifférents à ce qui se passe autour d’eux.
- Ils tournent les pages sans jamais revenir sur la page ou le dernier paragraphe lu.
- Ils comprennent et se souviennent de tout ; ils peuvent vous raconter en détail et vous expliquer les points obscurs d’un livre lu il y a des années.
Quel est leur secret ?
Ils vous diront qu’ils n’en ont pas, mais en réalité, même s’ils ne peuvent pas l’expliquer, ils ont un secret. Le secret des gens qui lisent vite, c'est simplement d'avoir acquis de bonnes stratégies de lecture.
Vous aussi, à l’aide de stratégies à la portée de tous et d’un entrainement approprié, vous pouvez lire de 50 à 150 % plus rapidement.
Acceptez-vous de relever le défi de développer votre plein potentiel en lecture afin d’atteindre vos objectifs de carrière ?
Cela vous prendra moins de deux heures, pour déjà lire plus vite.
Selon votre niveau, vous pourrez consacrer quelques heures supplémentaires à une lecture ludique et supervisée pour vous permettre d'être parfaitement à l’aise avec la méthode.
Quel que soit votre âge, vous pouvez acquérir les compétences des meilleurs lecteurs en peu de temps.
Ce serait une erreur de croire que ces capacités sont inaccessibles. Vous avez votre destin en main et vous pouvez aussi devenir un lecteur qui lit passionnément livre après livre.
Cela demande juste un peu de pratique à l’aide d’exercices amusants qui vous pousseront à vous surpasser. Il faut seulement accepter de vous débarrasser de vos mauvaises habitudes de lecture, car APPRENDRE C’EST CROÎTRE, MAIS C’EST AUSSI CHANGER.
Lire lentement c'est embarrassant...
-
Avez-vous l’impression de perdre votre temps quand vous lisez parce que :
- Vous lisez moins vite que votre conjoint ?
- Vous vous relisez souvent ?
- Vous avez la tête ailleurs, vous êtes facilement dans la lune ?
- Vous avez de la difficulté à parler de ce que vous avez lu et vous n’êtes pas sûr d’avoir compris ?
- Vous n’avez aucun souvenir d’un livre lu, alors que votre belle-sœur peut en parler abondamment ?
- Avez-vous déjà eu peur d’échouer à un concours pour une promotion ou à un examen important parce que vous ne lisez pas assez vite ?
- Êtes-vous frustré de ne pas arriver à faire les lectures suggérées ou imposées ?
- Manquez-vous de temps pour lire tous ces livres qui pourraient être importants pour votre carrière ou votre développement personnel ?
- comment être plus concentré,
- comment mieux comprendre,
- comment mieux mémoriser à court et à long terme,
- comment aller à l’essentiel.
- plus heureux,
- plus énergique,
- plus créatif
- et plus puissant…
- plus souvent,
- plus longtemps,
- des livres plus longs
- et plus difficiles.
- comment vous préparer pour lire un texte difficile afin d’avoir une meilleure motivation, une concentration optimum et une compréhension adéquate ;
- comment lire en étant instantanément dans « LA ZONE » ;
- comment éviter d’être dans la lune, d’avoir la tête ailleurs.
- Premièrement: des connaissances que vous avez accumulées jusqu’à maintenant.
- Deuxièmement: de votre capacité à mémoriser.
- j’ai formé des milliers de personnes, sur trois continents (au Mexique, en France, au Sénégal, au Mali, au Congo Brazzaville et bien sûr au Canada) ;
- j'ai écrit un livre sur la lecture rapide adaptée aux enfants, «Quand lire rime avec plaisir», qui s’adresse aux parents et aux enseignants du primaire (VOUS POUVEZ Y ACCÉDER GRATUITEMENT).
- j’ai développé la cyberformation LIREMIEUX.CA qui me vaut des témoignages extraordinaires ;
- et je travaille sur un autre livre.
- plus concentré,
- avec une meilleure rétention,
- une meilleure compréhension,
- et un plus grand plaisir de lire.
- à lire en diagonale,
- à sauter des mots,
- à sauter des phrases,
- à élargir l'empan de l'oeil (impossible),
- à lire avec la vision périphérique (impossible),
- à éliminer la sous-vocalisation (impossible).
- d’un tachistoscope, un type de logiciel qui fait défiler des mots rapidement (amusant, mais inneficace);
- d’une conférence ou d'un webinaire vidéo (il faut vivre la lecture rapide);
- d’un manuel en ligne (monotone).
- Vous disposerez de mon courriel privé et je serai entièrement disponible pour répondre à vos questions (généralement dans les 24 heures, sauf les WE).
- Vous bénéficierez également sur demande de mes conseils ou de mes commentaires à la lumière de vos résultats. Vous n’aurez qu’à m’écrire quelque chose du genre : «Que pensez-vous de mes progrès au dernier test ?» Et je vous répondrai promptement ; j'ai beaucoup de plaisir à faire cela.
- Les cours traditionnels de lecture rapide, qui promettent plus de 1000 m/m, durent une trentaine d’heures étalées sur 10 semaines et coûtent plus de 800,00 $ (550,00 €).
- Les cours avec conférencier sur DVD qui promettent des vitesses faramineuses de 10 000 à 25 000 m/m coûtent de 245,00 $ US à 530,00 $ US. Honnêtement, c’est de la pseudoscience et vous perdrez temps et argent.
- Pour mon séminaire d'une journée, je demande en France : 477,00 € ST pour les entreprises, 377,00 € ST pour les particulier et 247,00 € ST pour les étudiants.
- Pour une formation particulière, en tête à tête, de 3 h 30, je demande 697,00 € ST (597,00 $ HT au Québec).
- elle est en ligne et vous pourrez y accéder en tout temps, sans avoir à vous déplacer;
- avec ses 23 tests, vous recevrez des feedbacks immédiats sur l’état de vos progrès (il a été prouvé que des rétroactions reçues tout de suite après un apprentissage stimulent la motivation et favorisent l’acquisition de nouvelles compétences);
- c’est une approche individualisée que vous pourrez suivre à votre rythme sans vous sentir bousculé ni comparé;
- il y a des vidéos explicatives concises, d’élégants graphiques de vos résultats et des exercices interactifs simples et amusants.
Comment en une soirée lire deux fois plus vite ?
En utilisant une technique de base simple, lire avec un pointeur, et en exerçant votre vitesse.
L'application LIREMIEUX.CA vous guidera pas à pas. Grâce à cette approche accessible, non seulement vous deviendrez plus rapide, mais vous serez également un lecteur transformé, car vous saurez:
« Non ! Je ne regrette rien... »
Imaginez : dans 20, 30, 50 ans, vous aurez lu deux fois plus.J’ai rencontré beaucoup de personnes qui m’ont affirmé qu’avoir suivi un cours de lecture rapide a été le meilleur investissement de leur vie.
«C’est professionnellement le meilleur investissement que j’ai fait ces dernières années. Je consacre plusieurs heures par jour à la lecture et j’ai vu mon efficacité doubler. La rentabilité est évidente…»
Jocelyn Pinet, auteur, expert-conseil international, Pinetcom.com
Même si vous êtes plus âgés. Vous connaissez l’adage : il n’est jamais trop tard pour bien faire. Pensez à cette vieille dame qui à plus de 70 ans a passé son brevet de pilote et a appris à sauter en parachute.
Les infirmiers spécialisés dans l’accompagnement des personnes en fin de vie vous le diront, les plus grands regrets de leurs patients, ce ne sont pas les fautes qu’ils ont commises : ce sont les projets qu’ils n’ont pas osé entreprendre.
Comme lecteur rapide :
1. Vous aurez plus de plaisir à lire.
Il y a même une étude(1) qui a observé que lire plus vite permet de se sentir :
2. Vous serez plus motivé à lire.
Parce que justement vos lectures vous procureront un plus grand plaisir de lire, vous lirez :
3. Vous aurez une meilleure CONCENTRATION
Le plus important gain que vous retirerez de mon approche de lecture rapide, c’est une concentration maximum. Les anciens participants que je revois plusieurs mois, parfois plusieurs années, après le cours me disent souvent que la lecture rapide leur permet de bénéficier d’une concentration très supérieure. Vous saurez :
4. Vous comprendrez mieux.
La compréhension dépend de deux choses :
À l’impossible nul n’est tenu : si vous ne connaissez pas le chinois et qu’un texte est truffé d’idiomes chinois, vous ne comprendrez pas. La lecture rapide ne vous enseignera pas le chinois.
Une des questions qui m’est le plus souvent posée : est-ce que la lecture rapide s’applique à l’anglais ? Bien sûr, si vous parlez anglais. La lecture rapide s’adapte à toutes les langues, mais elle ne vous enseignera aucune des milliers de langues parlées de la planète.
Il en va de même pour les concepts scientifiques. Si vous lisez un livre sur l’astronomie et que c’est le 10e livre que vous lisez sur le sujet : on s’entend pour dire que votre compréhension va être bien meilleure que la première fois que vous avez lu un livre sur l’astronomie. Les connaissances accumulées lors de vos premières lectures vont faciliter votre compréhension. Les stratégies globales de lecture rapide vous permettront d’apprendre l’astronomie plus rapidement, mais elles ne vous en donneront pas la science infuse.
Par contre : vous mémoriserez mieux. Et comme compréhension et mémorisation sont intimement liées, vous comprendrez mieux.
Comment mieux retenir l’information lue ?
En lecture :
-
1. Comprendre, c’est dégager le sens.
2. Retenir, c’est se souvenir de ce qu’on a lu.
On peut retenir une blague même si on ne l’a pas comprise, mais c’est difficile. C’est déjà difficile de retenir une blague qu’on a comprise, encore plus si on ne l’a pas comprise.
À l’opposé : combien de fois vous est-il arrivé de ne pas comprendre une blague parce que vous aviez manqué le début ?
C’est la même chose pour un texte : si vous lisez distraitement, vous arriverez à la fin en ayant retenu peu d’information, votre compréhension en sera affectée.
Les lecteurs lents sont facilement distraits et leur compréhension en souffre.
Nous pensons vite. Cela va très vite dans notre cerveau. Vous avez certainement déjà vécu le genre d’incident où, soudainement, tout se met à accélérer dans votre tête. Je me souviens d’une fois où je suis tombé en pleine rue devant des dizaines de personnes.
J’étais à une intersection très achalandée. En m’engageant dans la rue, j'ai trébuché sur… je ne sais quoi, le bord du trottoir peut-être.
Tout ce qui s’est passé dans ma tête, la fraction de seconde qu’a duré ma chute, m’étonne encore :
« Ah non, tous ces gens qui me regardent, quel embarras ! Et là, si j’amortis ma chute avec mes mains, sur l’asphalte, je vais m'égratigner les paumes qui vont être noires de bitume. Les genoux de mes pantalons vont y passer aussi. Merde ! Je vais plutôt faire une roulade comme on m’a appris au judo. Je vais salir ma veste en daim que j’aime bien, mais bon, elle est si vieille. Évite de résister, laisse-toi rouler, çà va éviter les déchirures. »
Et je me suis laissé tomber, jusqu’à ce que je sois étendu au sol de tout mon long, les bras en croix. J’y suis même resté immobile une grosse seconde. Tant qu’à me donner en spectacle… j’ai mis de la moutarde.
Quand je me suis relevé, le feu était passé au vert et les conducteurs au volant des voitures attendaient patiemment que je dégage. Les piétons de l’autre côté de la rue me regardaient, interloqués. J’ai jeté un coup d’œil à mes mains, mes manches, mes genoux: pas de dégâts. Un peu gêné, mais quand même satisfait de ma bonne réaction, j’ai repris ma route en fendant la foule agglutinée sur l’autre trottoir. J’avais l’étonnante impression que le temps venait de se dérouler au ralenti, comme dans les films…
La morale de cette histoire, c’est que la vitesse de notre pensée est beaucoup plus rapide que la vitesse à laquelle on parle. Si nous lisons trop lentement, notre cerveau s’ennuie et cherche à s’occuper, il se met alors à penser à autre chose.
I-ma-gi-nez que je vous par-le en pre-nant le temps d’ar-ti-cu-ler très dis-tin-gue-ment cha-que syl-la-be de cha-que mot. Cela deviendrait vite ennuyant et m’écouter vous épuiserait. Eh bien, c’est la même chose qui se produit pour votre cerveau si vous lisez trop lentement.
Le lecteur rapide, parce qu’il est très concentré et très absorbé par sa lecture, n’a pas ce problème.
Il est aussi un lecteur plus dynamique, car il a appris à remarquer, à prêter attention à ce qu’il lit.
La première chose à faire lorsqu’on veut mémoriser
Je donne aussi un cours sur la mémoire. Dans ce cours, j’explique qu’il est impossible de tout retenir et qu’il faut faire des choix. Une fois la décision prise de mémoriser une information, la première chose à faire, c’est d’être attentif.
La cyberformation LIREMIEUX.CA met l’accent sur la nécessité d’être un lecteur dynamique. Le bon lecteur n’est pas passif, il est au contraire très en interaction avec le texte ; il lit avec l’intention de retenir l’information, tout en lisant vite. Et la meilleure façon de développer cette compétence, c’est de faire des tests : de répondre immédiatement à des questions après avoir lu un texte.
Si vous lisez en sachant que l’on va vous poser des questions, vous allez devenir plus attentif. En lisant, vous allez prêter attention à ce qui peut être l’objet d’une question, vous allez remarquer davantage. Et à force de vivre cette mise en situation, vous allez intégrer, sans y penser, cette nouvelle attitude. Au final, vous serez un lecteur avec une meilleure compréhension.
LIREMIEUX.CA contient 23 tests amusants.
Voici ce que deux professionnels, Claudine, 57 ans, et Gaétan, 45 ans, disent de LIREMIEUX.CA :
[…] Petit commentaire sur votre cours, il est très bien monté, très intéressant, mais à mon goût j’aurais apprécié plus d’exercices. J’ai trouvé que ça a passé vraiment trop vite. Faut croire que votre formation est tellement ludique que je ne voyais pas le temps passer. Je dois dire que vos tests sont agréables à faire, car dans mon souvenir de jeune étudiante je détestais les tests. J’ai de plus en plus de plaisir à lire avec votre méthode, à la maison ou au travail. J’ai réussi à lire deux livres en une semaine, c’est une première pour moi. Super!
Au plaisir!… de la lecture!!!
(Claudine a doublé sa vitesse nette de lecture.)
[…] Je dois dire que le cours est très bien fait et ludique. J’ai apprécié les chapitres entrecoupés de tests d’entrainement avec une visualisation immédiate des progrès réalisés… Encore merci pour votre cours et votre pédagogie, j’ai trouvé la structure très bien faite, progressive et passionnante. C’est vraiment très agréable.
(Gaétan a aussi doublé sa vitesse nette de lecture)
Je n’ai pas toujours été un lecteur rapide
J’ai consacré quatre décennies à essayer de devenir un lecteur rapide. J’ai dépensé beaucoup d’argent pour ce faire. Et surtout : j’ai perdu énormément de temps avec des approches dont la science a démontré qu’elles étaient sans valeur. Avant de trouver, enfin, une approche simple qui m’a permis de passer de 370 m/m à 500 m/m.
Les années 60
Jacques BergierJ’étais adolescent la première fois que j’ai entendu parler de la lecture rapide. Mon père était abonné à la revue française Planète qui se consacrait au réalisme fantastique, soit aux faits extraordinaires supposément vrais.
Un des rédacteurs de la revue, Jacques Bergier, était présenté comme ayant le pouvoir surhumain de lire un livre en quelques minutes et de pouvoir le réciter quasi mot à mot. J’ai immédiatement rêvé d’avoir ce superpouvoir et d’être celui qui a tout lu et se souvient de tout.
J’ai travaillé très fort à essayer de devenir comme Jacques Bergier et lire à plus de 1000 m/m. La réalité, c’est que les gens avec des superpouvoirs sont très rares. Il faut savoir que Jacques Bergier, même s’il était indéniablement un lecteur doué, aimait exploiter la crédulité des gens : dans son autobiographie « Je ne suis pas une légende », il se montre très fier de ses nombreux… canulars !
Les années 70
RichaudeauJ’ai d’abord essayé d’apprendre la lecture rapide par les livres. La bibliothèque de mon quartier possédait le livre « Lecture rapide » de François Richaudeau, la version de poche de la collection « Marabout » avec une couverture blanche et noire.
Comme bien des gens qui m’ont témoigné de leur expérience avec ce livre, j’ai trouvé les tests extrêmement difficiles et les exercices confondants. Encore aujourd’hui, bien que j’ai lu et relu ce livre plusieurs fois (j’en possède trois éditions différentes), je me demande s’il y a quelqu’un qui est déjà devenu un lecteur rapide en faisant les exercices de ce livre. Exercices consistant principalement à parcourir en une seule fixation une colonne de mots de plus en plus larges .
Evelyn Wood
Par la suite, j’ai pu suivre le cours d’Evelyn Wood. Cette Américaine a forgé dans les années 50 l’expression « speed reading » et connu une grande renommée dans les années 60 quand le correspondant du Time à la Maison-Blanche, Hugh Sidey, a parlé d’elle. Le journaliste avait su que John F. Kennedy avait suivi son cours. Sidey a questionné Kennedy sur ses performances et celui-ci a affirmé lire à 1200 m/m. Une légende était née et la fortune de Mme Wood assurée. En 1966, elle a vendu sa compagnie à une multinationale pour laquelle elle a continué de travailler jusqu’en 1976. Elle est décédée en 1995.
En 1975, j’ai vu l’annonce d’un des franchisés de cette multinationale et je me suis inscrit. L’inscription coûtait à l’époque 170 $ (en dollar de 2018, c’est près de 800 $, soit ~550 €). Le cours s’étalait sur huit semaines : des séances de trois heures, le samedi matin, dans un local loué au centre-ville à une heure d’autobus de chez moi.
On y apprenait surtout à survoler un livre et à le parcourir à très grande vitesse. Je me souviens d’un exercice où l’on recevait un livre, le mien portait sur les fourmis, sur lequel on devait répondre à 10 questions avant même de l’avoir lu ; puis, on parcourait le livre à plus de 1000 m/m en faisant de grands S dans les pages ; on terminait l’exercice en répondant de nouveau aux mêmes questions.
Mon score au test AVANT de « lire » le livre a été supérieur au résultat que j’ai obtenu après l’avoir parcouru. Ce qui avait fait rire l’instructeur : « Bien voilà ! Tu n’as plus besoin de lire : tu en sais déjà plus que tes lectures ne t’en apprennent », m’avait-il taquiné. Compte tenu de ce que j’avais investi en temps et en argent dans ce cours, je ne l’avais pas trouvé drôle.
J’y ai appris l’importance de survoler un livre avant de le lire pour mieux comprendre, mais pas à lire plus vite.
Les années 80
Les assistants visuels à la lecture rapide (Rapid Serial Visual Presentation)
Dans les années 80, je me suis acheté un PC et le premier logiciel que je me suis procuré s’intitulait « Speed Reading ». Il était contenu sur une disquette 5¼ (floppy disk). C’était une application de défilement de mots qu’on appelle aussi tachistoscope.
Il est facile maintenant de trouver sur Internet différentes versions gratuites de ce type de logiciels. Spritz, notamment, a connu une importante couverture médiatique lors de son lancement, il était censé changer notre façon de lire.
Ces logiciels sont présentés comme des assistants visuels à la lecture. Certains vous offrent de déterminer au départ le nombre de mots que vous voulez voir défiler, habituellement de 1 à 10, parfois davantage sur deux ou plusieurs lignes. Puis vous choisissez la vitesse de défilement qui peut aller de 200 à 2000 m/m.
Je me suis beaucoup entraîné avec « Speed reading ». Immédiatement après les exercices, je lisais plus rapidement. Mais cela ne durait pas. Après quelques minutes, je revenais à mon ancienne vitesse. Ce genre d’exercices ne peut pas nuire, mais ce n’est pas très performant, il y a beaucoup mieux. Mais surtout, ce n’est pas un outil de lecture, comme certains promoteurs le prétendent, pour la simple et bonne raison que le bon lecteur varie constamment sa vitesse de lecture et ces logiciels de défilement de mots ne le permettent pas.
« Speed Reading » contenait aussi un jeu qui avait pour but d’entraîner le lecteur à utiliser sa vision périphérique et à élargir son empan visuel. L’empan visuel, c’est le nombre de mots ou de caractères que vos yeux peuvent fixer sans flou, habituellement deux, trois maximum. Essayez voir :
un deux trois quatre
avion train auto vélo
nom carte choix folie
une jolie petite fille
Le jeu faisait apparaître et disparaître très rapidement des mots. Il offrait le choix de présenter deux, trois, ou quatre mots à la fois. Il y avait 15 niveaux de vitesse qui s’ajustaient automatiquement à notre performance. Si je parvenais à écrire sans faute les mots montrés, les mots suivants étaient présentés plus vite ; sinon, ils étaient présentés à la vitesse précédente. Les mots étaient en anglais et je n’en connaissais pas le sens.
Je suis devenu excellent à ce jeu, mais je n’ai jamais réussi à élargir mon empan visuel. Malgré des heures et des heures d’entraînement, je n’ai vu aucun changement de ce côté. Pour arriver à atteindre le 15e niveau de vitesse avec 4 mots, il fallait que j’anticipe leur apparition et que je me prépare à les balayer des yeux. En fixant mon regard, je n’y arrivais pas. Cela confirme ce qu’affirment les chercheurs qui se sont penchés sur les prétentions des promoteurs de ces applications : il est impossible d’élargir son empan visuel et d’utiliser sa vision périphérique pour lire.
MASTER
Au cours de ces années, j’ai obtenu une maîtrise (Master) en psychopédagogie qui portait notamment sur l’apprentissage précoce de la lecture.
Dans le cadre de ma recherche, je me suis rendu à Philadelphie pour rencontrer Glenn Doman. Physiothérapeute spécialisé dans le traitement des enfants atteints de lésions cérébrales. Les méthodes de Doman sont controversées : il croit que l’on peut rééduquer un enfant lésé cérébral en le stimulant 15 heures par jour. Ce sont les parents qui doivent le stimuler. Des aides peuvent être engagés, mais pour les assister dans les tâches connexes, pas pour appliquer le traitement.
Entre autres méthodes controversées, il enseigne à lire aux enfants… dès la naissance ! J’ai bien écrit : « naissance » ! C’est ce qui m’a amené là-bas.
J’ai passé cinq semaines à son centre à y faire du bénévolat. L’organisation était plus proche d’une secte que d’un organisme de recherche rigoureux, mais j’y ai vu des enfants handicapés connaître des progrès fulgurants à la grande satisfaction des parents, qui souvent n’avaient aucune alternative.
Je me suis également rendu à l’Université de Pittsburgh et au musée pour enfants de Washington afin de rencontrer le professeur de psychologie sociale Omar Moore. Celui-ci a inventé en 1962 une « machine à écrire parlante » permettant aux enfants de deux à cinq ans d’apprendre à lire et à écrire. Au départ les enfants jouent simplement avec le clavier afin de découvrir l’alphabet, puis ils sont amenés de façon ludique à écrire des comptines de plus en plus complexes.
Je souhaitais acquérir une de ces machines qui avait coûté 35 000 $ à concevoir, soit 300 000 $ en argent d’aujourd’hui. M. Moore m’avait dit que ce serait possible de me procurer le prototype d’un nouveau modèle beaucoup moins cher, autour de 2000 $, et qu’il devait être disponible incessamment. C’était d’ailleurs pour travailler avec ce prototype sous sa supervision que je me suis rendu à Washington.
Pour je ne sais quelle raison, ce nouveau modèle n’a jamais vu le jour et les travaux du professeur Moore n’ont jamais eu de suite… Il est décédé en 2006 et une des seules machines à écrire parlantes à avoir été produite est exposée au Doane College au Nebraska.
Les années 90
Spécialiste des stratégies pour apprendre
Dans les années 90, je suis devenu orthopédagogue.
Comme orthopédagogue, j’aidais les enfants avec des problèmes d’apprentissage, principalement en lecture. J’ai toujours été fasciné par les stratégies d’apprentissage, le fameux : comment « apprendre à apprendre ».
Cette fascination m’a amené à m’intéresser aux trucs de mémorisation (les mnémoniques ou mnémotechniques), je vous ai déjà mentionné que je donne un cours sur ces stratégies d’apprentissage, « L’atelier Mémoire Plus ».
Le diplôme en adaptation scolaire permet de pratiquer comme orthopédagogue.
Enfin, une approche qui fonctionne
En 1996, j’ai suivi le cours de lecture rapide de Monsieur Steve Harris qui est devenu ensuite mon mentor. J’ai vu des résultats réels et mesurés. J’ai appris une technique reposant sur le gros bon sens, sans théories n’ayant ni queue ni tête, que du concret. J’ai tellement aimé que j’ai acheté la compagnie… ou presque.
Steve Harris a repris le cours de son père qui lui avait acheté une franchise Evelyn Wood. Sauf que le format d’un cours de 24 heures en huit semaines ne lui paraissait pas pratique, il a ramené le tout à une formation de six heures en une journée.
Il trouvait aussi que la promesse de 1000 m/m de la méthode Evelyn Wood était décevante, car peu de personnes obtenaient ce résultat. Comme la majorité des participants arrive à progresser de 50 à 150 %, c’est la promesse qu’il fait.
Lors du cours avec M. Harris, nous avons dîné ensemble. Voyant mon intérêt pour la lecture rapide et mes connaissances dans l’enseignement de la lecture, M. Harris, qui vit près d’Ottawa, m’a offert d’organiser pour lui des formations à Québec. J’ai dit oui. Ce fut un grand succès, je lui ai obtenu plusieurs contrats.
À tel point que M. Harris, qui avait de jeunes enfants et ne pouvait se permettre de faire ce voyage aussi souvent, m’a offert de donner le cours à sa place. J’ai dit oui. Depuis :
Je suis heureux à travailler dans un domaine qui me passionne, l’enseignement des habiletés avancées en lecture, qu’on appelle la lecture rapide ou efficace.
Le syndrome de l’imposteur
Toutefois, au début, je pensais que pour enseigner la lecture rapide, il fallait être capable de lire à plus de 1000 m/m. Même si j’ai réalisé, que je lisais aussi vite que M. Harris et qu’avec mes études, j’en savais plus que lui sur la lecture, je croyais que tant que je n’arriverais pas à lire à plus de 1000 m/m, il me manquerait « LA » compétence phare pour enseigner la lecture rapide.
J’ai entrepris de suivre les nombreux cours offerts aux États-Unis qui font des promesses fabuleuses. Ces cours viennent sur DVD (sur cassettes vidéo à l’époque) et demandent beaucoup de persévérance, parce qu’ils sont très fastidieux à suivre.
J’ai suivi le cours Megareading de Howard Berg, qui se vante de lire à 25 000 m/m. M. Berg est dans le livre Guiness des records de 1990. À l’époque, contrairement à ce qui est maintenant la norme, la maison Guiness n’a pas vérifié ses dires. M. Berg a été condamné en 1998 par la Federal Trade Commission pour publicité trompeuse.
J’ai suivi Reading Genius, qui promet 10 000 m/m, et qui est… un pur attrape-nigaud. Je ne peux pas croire qu’il y a près de 20 ans, j’ai payé 300 $ US pour ça ! Le monsieur se vante faussement d’avoir formé les pilotes de chasse de l’US Air Force et d’avoir formé des champions de la lecture en leur faisant lire 4 livres en même temps.
J’ai suivi Photoreading qui promet 25 000 m/m, et tant qu’à se faire arnaquer, le cours complémentaire Photoreading turbo charge. Méthode au final très complexe appuyée par un jargon pseudo-scientifique qui ne livre pas la marchandise, mais qui fait encore sa part de victime en France sous l’appellation Photolecture.
J’ai aussi suivi Speedreading 4 kids. L’auteur invite les enfants à parcourir des textes au rythme de 3000 m/m (oui, trois milles, il n’y a pas un zéro de trop). Il leur explique que lire une page c’est comme regarder un arbre: on ne regarde pas les feuilles de l’arbre une à une, on regarde l’arbre dans son ensemble; ainsi, l'on doit regarder les pages d’un livre de la même façon, globalement; avec un peu d’entraînement, l’histoire finira par se dérouler devant nous, comme un film au cinéma… On n’arrête pas le progrès !
J’ai également lu beaucoup de livres donnant des trucs pour éliminer la sous-vocalisation. Ainsi, j’ai lu en humant (en faisant hummm), un crayon entre les dents et un œil fermé. J’ai lu aussi après avoir synchronisé mes hémisphères cérébraux grâce à la technologie Hemisync.
Jusqu’à ce que je prenne connaissance des travaux de Ronald Carver, qui démontre que toutes ces prétentions sont bidon. Les personnes lisant au-delà de 600 m/m sont très rares. Depuis 20 ans, je n’ai eu qu’une douzaine de participants qui ont lu au-delà de cette vitesse avec 80 % de rétention. Il est impossible de lire avec sa vision périphérique, d’élargir l’empan de l’œil et d’éliminer la sous-vocalisation. Les résultats de Carver viennent d’être confirmés par une mégaétude (une compilation de plusieurs milliers d’études). Bref, les scientifiques confirment ce que j’ai découvert isolément.
L'aboutissement !
Après plus de quatre décennies d’étude et de recherche sur la lecture, et 20 ans d’enseignement de la lecture rapide: je vous propose de profiter de mes connaissances et de mon expérience acquises.
J'ai développé, sous la forme de l'application LIREMIEUX.CA, une approche pédagogique simple de la lecture rapide qui vous permettra de doubler votre vitesse de lecture en une soirée.
L’apprentissage de la lecture rapide comporte deux éléments fondamentaux :
1- La base
La base de la lecture rapide, c’est de lire avec un pointeur et de faire des exercices de sous-vocalisation rapide.
Le pointeur vous permettra de développer votre concentration, et ainsi d’avoir une meilleure compréhension.
Il vous permettra aussi, et surtout, de maintenir un rythme de lecture plus rapide une fois habitué à sous-vocaliser rapidement, soit dire les mots avec votre voix intérieure beaucoup plus rapidement que vous ne parlez.
2- Aller à l’essentiel
La lecture rapide est aussi un ensemble de stratégies comme la lecture dynamique, la lecture sélective et l’écrémage.
Ces stratégies visent à mieux comprendre les textes difficiles et à mieux mémoriser à long terme les idées qu’ils contiennent.
Pour ceux qui sont débordés de lecture, ils permettent d’aller rapidement à l’essentiel d’un texte.
Cette application amusante vous permettra en quelques heures, à un coût raisonnable, de lire de 50 % à 150 % plus vite grâce à une approche unique !
En plus de développer votre capacité à lire plus vite, vous deviendrez un lecteur :
Pas de fla-flas
La recherche a démontré que beaucoup de prétentions des cours traditionnels de lecture rapide sont fausses ou se font au détriment de la compréhension.
Avec LIREMIEUX.CA, on ne vous enseignera pas, en aucune façon :
C’est une application originale.
Il ne s’agit pas :
C’est du cyberapprentissage avec des exercices guidés et interactifs contrôlés par l’application.
De nombreux tests mesurent votre vitesse, votre rétention et votre vitesse nette, ce qui vous permet d'assurer vos progrès.
Quelle est ma promesse ?
Je ne vais pas vous promettre de miracle. Toutefois, les probabilités que vous lisiez plus vite avec une meilleure rétention sont excellentes.
Il y a seulement 4 % de mes participants qui ne progressent pas ; à l’opposé 4 % terminent le cours en lisant plus vite que moi.
Le débit moyen d’une conversation tourne autour de 170 m/m. Il est difficile de parler et d’être compris au-delà de 250 m/m.
Les bons lecteurs lisent les textes faciles à plus de 300 m/m avec une rétention de 80 %. Au-delà de 400 m/m, toujours avec une rétention de 80 %, on parle de LECTEUR RAPIDE.
Progrès moyens des participants au prétest et au post-test de mon cours

Au prétest, les participants lisent silencieusement un peu plus vite qu’ils ne parlent, soit en moyenne entre 200 et 250 m/m.
La rétention moyenne est de 75 %.
À peu près 10 % lisent à plus de 300 m/m (avec une rétention d'au moins 80 %) ce qui les situe dans la catégorie des très bons lecteurs.
Et seulement 1 % sont des lecteurs rapides, c'est-à-dire qu'ils lisent à plus de 400 m/m (avec une rétention d'au moins 80 %).
Au post-test, le progrès moyen est de 76 %.
La rétention a progressé de 5%, pour une moyenne de 80 %.
C'est maintenant la très grande majorité de mes participants, soit 80 % d'entre eux, qui sont des très bons lecteurs et ont la capacité de lire à plus de 300 m/m (avec une rétention d'au moins 80 %).
Encore plus spectaculaire, ils sont désormais 30 fois plus nombreux, soit 30 % d'entre eux, à détenir le «SUPERPOUVOIR» de lire à plus de 400 m/m (avec une rétention d'au moins 80 %) et à être membres du «Club» très sélect des lecteurs rapides.
Honnêtement, pensez-y : consacrer quelques heures de votre vie à améliorer vos compétences en lecture ne peut que vous être bénéfique.
COACHING
Ce cours est accompagné d’un suivi individualisé sur demande.
Peu coûteux!
Sachez que :Vous pouvez accéder à LIREMIEUX.CA et devenir en quelques heures un lecteur heureux et efficient, comme des milliers de mes participants satisfaits à travers le monde, pour seulement:
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Imaginez un casino où il est impossible de perdre : vous jouez et si vous ne gagnez pas, on vous rembourse votre mise.
Eh bien, ce casino n'existe pas, mais une telle chance existe : si jamais vos progrès ne vous satisfont pas, je vous rembourse.
Si vous êtes sérieux dans votre démarche vers le SUCCÈS, vous pouvez RELEVER LE DÉFI d'apprendre la lecture rapide en quelques heures, l'esprit tranquille, puisque c’est GARANTI.
LIREMIEUX.CA vous permettra de prendre le contrôle de vos lectures et d’aller plus loin, parce que :
Qui s'instruit s'enrichit
«…les études montrent que les lecteurs actifs sont susceptibles d'avoir des revenus annuels plus de cinq fois supérieurs à ceux qui consacrent peu de temps à lire.» Mike Hyatt, spécialiste mondialement reconnu du leadership
La cyberformation LIREMIEUX.CA s’adresse à toutes les personnes qui désirent devenir un lecteur expert grâce à une approche pédagogique rigoureuse exempte de verbiage pseudo-scientifique et d’exercices futiles.
Elle convient aux professionnels d'expérience comme aux étudiants aussi jeunes que ceux qui témoignent dans le vidéo plus bas.
TÉMOIGNAGES
Voici ce que Benjamin, 13 ans, dit de ce cours :
[…] Je tiens à dire que c’est un programme génial qui a été fructueux pour moi. Grâce à ce dernier, je lis à plus de 400 mots à la minute ce qui est considéré comme plutôt rapide. J’ai aussi une rétention d’environ 80 à 90 % sur mes lectures. Avant je lisais moyennement vite, mais aujourd’hui, je suis 60 % plus rapide.
(Benjamin a complété le prétest à 270 m/m avec 70 % de rétention. Son tableau de bord indique qu’il a par la suite lu à plusieurs reprises à près ou à plus de 400 m/m avec une rétention comparable ou supérieure.)
Témoignages de Stéphanie Boudreaux-Carrier, enseignante au « Collège des Compagnons », avec cinq de ses élèves.
La lecture ce n’est pas une petite compétence : c’est la base de la civilisation.
Il ne s’agit pas juste d’un loisir : notre rapport à la culture et à la connaissance est déterminé par notre capacité à lire. Lire c’est croître.
Le monde technologique dans lequel nous vivons exige de plus en plus qu’on lise davantage et surtout, qu’on lise mieux. Lire c’est fondamental.
Lire efficacement est une nécessité pour réussir des études avancées et devenir un professionnel compétent. Lire c’est réussir.
Comme de nombreux participants, vous direz :
TOUT LE MONDE DEVRAIT SUIVRE CE COURS !